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la commune

drait de nouvelles façons de vivre et de s’amuser ; les enfants l’avaient surnommé le prince Bonbon, ce qui indique assez leur opinion sur son compte ; les pères et mères enfin n’étaient pas moins curieux que les enfants, et chacun se disait à part soi :

— Puisque ce prince est si riche et si généreux, nous ne pouvons que tirer bénéfice de sa présence chez nous.

D’autre part, comme ceux qui avaient fait les chartes étaient morts depuis cent ans, il n’était pas facile de savoir d’eux les raisons qu’ils avalent eues de chasser les gens couronnés. On aurait pu du moins, comme le proposait Lavisé, envoyer