Page:Leon Silbermann - Souvenirs de campagne, 1910.djvu/324

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Comme lui, je me suis imaginé avoir du mérite.

J’avoue maintenant humblement que je n’en ai aucun, n’ayant fait qu’exécuter les ordres de mes chefs. C’est à eux, lecteurs, que vous devez rendre hommage ; car je puis vous l’affirmer pour l’avoir vu : ils l’ont grandement mérité.

Paris, le 20 février 1910.



FIN