Page:Leopardi - Poésies et Œuvres morales, t1, 1880, trad. Aulard.djvu/248

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toiles, ces marbres et ces temples. Pense quelle terre tu foules ; et si la lumière de tels exemples ne peut t’éveiller, qu’attends-tu ? Lève-toi et pars. Elle ne convient pas à une conduite si corrompue, cette nourrice, cette école d’âmes hautes : si elle est le séjour de lâches, mieux vaut qu’elle reste veuve et seule.