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Page:Leopardi - Poésies et Œuvres morales, t2, 1880, trad. Aulard.djvu/38

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l’amour, les œuvres, les événements dont nous nous entretînmes si souvent ? C’est là le sort des races humaines ? À l’apparition de la réalité, tu tombas, malheureuse ; et avec la main tu montrais de loin la froide mort et une tombe nue.