Je l’ai tué, je l’ai tué !
Il tombe.
Écoute. Une voix dans le soir a crié
Sur la mer sombre : Tu l’as tué !
Comment l’ai-je tué, mon dieu, de ces mains blanches
Qui n’auraient pas blessé une colombe
Ni tué une fleur ?
Ah ! rien ne savait qu’il vivait,
Et tout ignore qu’il n’est plus.
Et l’aurore se lève encore.