Page:Lerberghe - La Chanson d'Eve.djvu/83

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Si, de sa main divine, il touchait
Mes épaules, et de sa voix ardente
À mes oreilles il murmurait,
Je ne détournerais pas la tête
De ton visage, Amour,
Mais je t’enlacerais sur mon cœur,
Plus follement, de peur
Qu’il ne se glissât entre nous,
L’ange radieux et jaloux.