Page:Lerberghe - La Chanson d'Eve.djvu/85

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Sait-il, à cette heure,
Que j’entr’ouvre ma chevelure,
Et qu’elle respire ;
Le sent-il sur la terre ?

Sent-il que j’étends les bras,
Et que des lys de mes vallées
Ma voix qu’il n’entend pas
Est embaumée ?