Page:Lermina - L’effrayante aventure.djvu/224

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liogire, pauvre épave que je me vois forcé d’abandonner… je prends divers objets dont nous pouvons avoir besoin… Monsieur Bobby, tenez la tige éclairante à bout de bras et laissez-moi faire…

D’un bond léger, Sir Athel rentra dans la cabine. Cinq minutes après, il en ressortait muni d’une petite caisse et d’un rouleau de cordelettes grosses comme le petit doigt.

— Maintenant, mon cher monsieur Bobby, je vais avoir l’honneur de vous attacher par les aisselles et de vous descendre auprès de votre ami, M. Labergère. Vous n’y voyez pas d’objection ?

— Dès maintenant, je me considère comme en service et je vous tiens pour mon chef…

Perfectly well ! Go on !

En un instant, Bobby fut solidement amarré sous les bras : avec la meilleure volonté du monde, tenant dans ses bras la caisse qui lui était confiée, il se laissa glisser dans le trou en question, suffisamment large pour qu’un corps en situation normale y passât tout entier, et la descente commença.

Cinq mètres ! Labergère avait calculé juste. L’affaire s’opéra sans encombre :