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Page:Leroux - La Double Vie de Théophraste Longuet.djvu/308

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LA DOUBLE VIE DE THÉOPHRASTE LONGUET

» Ici, nous prîmes quelque repos. Nous nous endormîmes en songeant aux eaux courantes fréquentées par l’asellus aquaticus et par le niphargus puteanus. Nos rêves furent magnifiques, mais de beaucoup dépassés par la surprise inexprimable de notre réveil.