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Page:Leroux - Le Parfum de la dame en noir.djvu/165

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prêté mon revolver au père Bernier, qui se promènera devant la porte de l’appartement de Mme Darzac…

Quiconque eût ignoré les événements du Glandier et aurait entendu un pareil langage dans la bouche de Rouletabille n’aurait point manqué de traiter de fous et celui qui le tenait, et ceux qui l’écoutaient ! Mais, je le répète, si celui-là avait vécu la nuit de la galerie inexplicable, et la nuit du cadavre incroyable, il aurait fait comme moi : il eût chargé son revolver, et attendu le jour sans faire le malin !