Aller au contenu

Page:Leroux - Le Parfum de la dame en noir.djvu/387

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

insistance si bizarre que celle-ci s’en montra agacée :

— Je sais, fit la jeune femme… je sais ce que vous pensez, Monsieur… et je n’en suis nullement étonnée… croyez-le bien !…

Et elle se retourna, singulièrement énervée, du côté de Rouletabille :

— En tout cas !… s’écria-t-elle… vous ne pourrez jamais m’expliquer comment, puisqu’il était hors de la Tour Carrée, il aurait pu se trouver dans le placard !…

— Madame, fit Rouletabille, en regardant bien en face Mrs Edith comme s’il eût voulu l’hypnotiser… patience et courage !… Si Dieu est avec moi, avant ce soir, je vous aurai expliqué ce que vous me demandez là !