Page:Leroux - Le fils de trois pères, Baudinière, 1926.djvu/348

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Cioasa changée en statue de la terreur, un terrible cri s’échappa du groupe qui s’écrasait à la porte. Le Petou lui-même eut un mouvement comme pour s’enfuir.

Voici le spectacle :

Sur un fauteuil où il semblait avoir été jeté comme un pantin détraqué, bras ballants, tête pendante, yeux mi-clos, le « boïa » ; sur le divan, la forme évanouie, roulée dans un peignoir de nuit, de Thélise. À l’embrasure d’une fenêtre, au bout d’une cordelette, le cadavre pendu de la petite Caroline, portant au clou un carton avec cette inscription : « Tu l’as voulu, « boïa » ! signé : « Hardigras ! »