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XII

LA CANNE DE FRÉDÉRIC LARSAN


Je ne me disposai à quitter le château que vers six heures du soir, emportant l’article que mon ami avait écrit à la hâte dans le petit salon que M. Robert Darzac avait fait mettre à notre disposition. Le reporter devait coucher au château, usant de cette inexplicable hospitalité que lui avait offerte M. Robert Darzac, sur qui M. Stangerson, en ces tristes moments, se reposait de tous les tracas domestiques. Néanmoins il voulut m’accompagner jusqu’à la gare d’Épinay. En traversant le parc, il me dit :

« Frédéric Larsan est réellement très fort et n’a pas volé sa réputation. Vous savez comment il est arrivé à retrouver les souliers du père Jacques ! Près de l’endroit où nous avons remarqué les traces des « pas élégants » et la disparition des empreintes des gros souliers, un creux rectangulaire