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Page:Leroux - Les Étranges Noces de Rouletabille, 1918.djvu/286

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LES ÉTRANGES NOCES

le voir bientôt obliquer sur la droite et rejoindre la rive près des ruines de Tcheragan ; ce coin était désert et ténébreux.

La Candeur se laissa guider jusqu’à l’eau qui vint clapoter à ses pieds,

Il se demandait où Rouletabille voulait en venir, mais dans l’ombre il vit que celui-ci se penchait sur une petite barque amarrée à un pieu et l’attirait à lui, Il y fit monter La Candeur et prit les rames après avoir détaché l’amarre.