en noir !… Ah ! le joli petit rat d’hôtel !… comme au cinéma !… Elle m’avait parlé de ce costume… Eh bien ! il lui va comme un gant, disons-le… Je le préfère à toutes ses robes de gala… Quelle femme adorable, moulée dans la soie noire !…
Je m’élance et je l’emporte dans mes bras !
— Pas de bêtises, darling !… Pas de bêtises !… il faut travailler… vous en avez besoin, je vous assure !…
Et elle se débat : « Si je suis contente de vous, nous verrons après ! » Et comme je le maintiens, le cher petit rat noir, il me griffe… il me mord !… il finit par me glisser des mains…
— Oh ! mon Helena, je suis tout à fait fou de vous !…
— Soyons sérieux ! Mettez votre sac sur la table !… Ouvrez !… well !
— Je croyais connaître votre visage, vos yeux, votre bouche, Helena !… mais je ne les avais pas vus par la lucarne de votre bonnet de rat !… An ! ce que je vois dans la petite lucarne de votre bonnet de rat !… Helena, voilà une bien jolie surprise !…
— Ne me la faites pas regretter !…
— Me voilà raisonnable, je vous écoute, mon cher professeur… Dites-moi, vous ne craignez pas que toute cette lumière…
— Dans cette pièce, nous ne risquons rien !… Et maintenant, taisez-vous, darling !… Songez que vous allez travailler pour notre bonheur…
— Oui !…
Elle étale sur la table tous les outils et quelques