Page:Leroux - Sur mon chemin.djvu/30

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
16
SUR MON CHEMIN

teau et les Vanloo et les Lancret que furent la comtesse de Lapeyrouse, Mme Binet, Mlle Bauwens d’Evernstein, Mlle Saint-Léon ; et l’exquis mirliton que fut Mlle Cuénod-Eynard, une enfant. Elle vous dit, en distribuant des mirlitons : « Prenez : on a toujours dans le cœur un mirliton qui sommeille. »

M. Meletta, compère ; les comtes de Lapeyrouse, de Jourdanne, de Nicolay de L’Église, de Louvencourt, M. Stéphane Dubois, le baron de Cambourg, MM. Montefiore, Brathy, Saint-Léon ont fait leur possible pour bien mériter des pauvres.

La politique n’est point absente de cette petite fête. On en fait, mais si aimablement !… Vous pouviez venir, monsieur Deschanel ; on vous attendait. Et puis, c’est peut-être tout ce qui restera de la politique de l’année dernière, cette petite revue dans le grand monde. Cela a été le dernier soubresaut du grand complot. Tout se pardonne, en temps de carême, et tout s’oublie ; même ce bon M. de Christiani.