Page:Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, 1833.djvu/24

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tinguaient à peine mon amant qui lui-même se mourait de bonheur ; bientôt ce n’étaient plus entre nous qu’un chorus d’exclamations plus amoureuses les unes que les autres : Attends… ne meurs pas encore… je sens mon â… me… qui s’envo… le, ah ! ah !… je cou… le… et nous arrivions ensemble à la suprême félicité. Ah ! croyez-en mon expérience, Mesdames, dit la lascive Bourgoin en terminant. La posture à califourchon est la plus propice à la véritable jouissance.