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Page:Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, 1833.djvu/28

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de délices en sentant un outil masculin bien poli s’introduire dans les replis les plus secrets de cet admirable lieu, tu serais la première à renoncer à toute autre espèce de culte, toutefois, rassure-toi, comme je ne veux pas d’un plaisir que tu ne partagerais pas, ce n’est pas ce que je te demande en ce moment, seulement quitte tous tes vêtemens.

J’obéis et je ne gardai bientôt plus de toute ma toilette que ma chemise, que mon amant m’invita à relever plus haut que la ceinture, afin qu’il pût, disait-il, admirer tout à son aise mes belles fesses et ma charmante chute de reins, à cet effet, m’ayant fait lui tourner le dos, il plaça devant moi une chaise sur les bâtons de laquelle je plaçai mon pied droit, laissant le gauche par terre et bientôt je sentis par derrière moi se glisser entre mes cuisses le dard ardent de mon aimable comte, peut-être ne fut-ce pas sans quelque regret qu’il vint se placer