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Page:Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, 1833.djvu/62

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CHAPITRE VIII.

Mademoiselle Jenny Dupré.


Qui aurait jamais pensé cela de cette petite sainte Nitouche de l’Arétin, dit Jenny Dupré ; bien que je me sois toujours défiée du feu de son œil noir, par la connaissance que j’ai de ces deux vers d’un de nos vaudevillistes :

Quand le feu gagne la fenêtre,
C’est qu’il fait chaud dans la maison.

Ah ! bien, ma foi moi, je n’y vais pas par quatre chemins. Tout le monde sait