Page:Les C.ens C - Bièvre - M. de Bievre suivie de Vercingentorixe, 1799.djvu/57

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On préparait déjà cette pompe aspirante

Que l'on croyait devoir à ses mânes d'osier. [215]

SYLVIE, dans le dernier accablement.

Oh ! p, q...

CRITOGNAT.

J'avais bien juré comme un charretier

Mais c'était en vain points d'arrêter un échange,

Devant causer tout haut quelque méprise étrange,

Les Romains furieux m'ont empêché mortel,

De mettre fin canine à leur dessein cruel; [220]

De façon de l'habit que le traître s'énivre

Des honneurs qu'en ces lieux on rend aux morts de cuivre.

Et que sa cendre chaude est couverte de pleurs...

Et dans ces plats pays... Ô comble des horreurs !

VERCINGENTORIXE,, vivement Dieux ! Convictolitan !

CRITOGNAT.

Oui, Seigneur. [225]

               Il se tue avec le couteau qui lui servait à table.

VERCINGENTORIXE.

Ah ! mon frère. [225]

CONUTODUN et CATUAT, ensemble Cher ami !

SYLVIE.

Cher amant !

VERCINGENTORIXE.

En faisant de bruyère

Ce qu'a fait Critognat, je m'acquitte envers toi !

Dans tes bras séculiers reçois ton frère.

Il se tue.

CONUTODUN,, saisissant un couteau Et moi

Je ne veux sur leurs pas d'autres guides de laine.

{{PersonnageD|CATUAT, ||