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( iv )

J’ai lâché le mot, je continuerai, et sans plus discourir, je viens à mes tableaux.

Ier. Un Crispin maquereau ce qui n’est pas extraordinaire au théâtre, engagera la jeune ingénuité à se laisser conduire au lit par un élégant riche et poli, que s’ensuivra-t-il, une fouterie entre deux draps dont Mons-Crispin recueillera les honoraires, entre associés le partage doit être égale. Ce trait appartient à la haute comédie.

II. Un Rodrigue, épris de sa Climène la conduit dans sa loge et sans la déshabiller sur un canapé, la fout sans plus de façon. Ils sont surpris par un valet de théâtre, et un actionnaire amoureux, quoi de plus innocent à transmettre aux regards pudibonds de nos amateurs intéressés.

III. Orosmane fout Zaïre, n’est-ce pas plus que naturel entre héros et héroïnes de