Page:Les Costumes théâtrales, 1793.djvu/19

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 13 )

Le jeune freluquet mordit à l’hameçon,
Et promit trente louis pour lui tâter le con.
Elle est à vous, dès ce soir, dit le drôle,
Je la conduis, comptez sur ma parole.
Je baisse le rideau, sur cette heureuse nuit,
Fouteur fringant que le plaisir séduit.
Ne laisse pas un jolie con en friche,
A ce doux jeu, non plus tendron ne triche,
Mais le plaisant Crispin, ce fortuné gaillard,
Des trente louis, eût quinze pour sa part.

Benè valeo.

Les Costumes théâtrales, 1793, vignette fin de chapitre
Les Costumes théâtrales, 1793, vignette fin de chapitre