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Oui vous avez foutu, votre mine effrontée
Avait pour un moment occuppé ma pensée,
Mais venez sur ce lit sans être vigoureux,
Je fouterai madame et même jusqu’à deux.
Et si du premier coup ma pine trop molasse,
Malgré mes coups de cul abandonne la place,
J’y renonce à jamais, je ne vous foutrai plus,
Et vous réparerez ces momens trop perdus.

Dessus ce lit,
Oh ! ma belle je te farfouille,
Dessus ce lit,
Repose l’honneur de mon vit,
A ce présent est une couille,
Qui dans le moment fait patrouille
Dessus ce lit.

Je mets maintenant nos amans à l’épreuve l’un et l’autre sur ce lit élancés,