Page:Les Folies amoureuses d’une impératrice ; Catéchisme libertin, 1900.djvu/25

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écartant les cuisses, il lui introduisit vigoureusement sa pine jusqu’au fond du con.

— Ah, sire ! s’écria alors Jonas, je vous en prie, ne déchargez pas, ceci n’est qu’une répétition, et il faut conserver votre sperme pour l’Impératrice.

— Eh quoi ! gémissait l’Empereur en fichant des coups de cul comme un terre-neuve, ne pas jouir, ne pas décharger, quand, enfin, je sens le fond d’un con étroit et chaud, et le pouvoir, le pouvoir !

— Retirez-vous.

— Jamais de la vie, dussé-je perdre le trône ! Je bande, il faut que j’éjacule, et cela vient. Ah ! la divine chose que l’amour ! Donne-moi ta langue, ma fille. Là, comme cela. Oui, tiens, la sens-tu, ma pine ? Elle est bonne, n’est-ce pas ? Elle manœuvre bien. Sens-tu comme elle entre, comme elle sort, va et vient ?

— Ah, sire, sire ! suppliait Jonas, si j’avais su ! Voyons, il en est temps encore, retirez-vous !

— Merde ! hurla l’Empereur, trop, trop, trop tard, je jouis, j’éjacule, je décharge. Ah ! ah ! oh ! oh ! ouf !