Page:Les Folies amoureuses d’une impératrice ; Catéchisme libertin, 1900.djvu/27

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II


Jonas fut très vexé de ce résultat, d’autant plus que la superbe fille amenée par lui, était sa propre maîtresse, et qu’il l’avait vu jouir sous ses yeux. Le confident avait été puni par où il avait péché. Quant à l’Empereur, il était revenu à lui, épuisé.

Il fut très surpris de ne plus voir sa compagne à ses côtés, mais il se trouva en présence de son confident qui le regardait d’un œil sévère.

— Sire, lui dit Jonas, vous n’avez pas été raisonnable ; vous vous êtes épuisé, et j’ai bien peur que demain vous ne puissiez…