— Non, c’est Louis, et permets-moi de baiser tes seins, et ton ven-ventre, puis ton con, ton beau con.
— Non, non, pas ça, ta pine, je veux ta pine, enfonce, enfonce.
— Mais je ne puis, je suis ému, le champagne…
— Ta pine ! Ta pine !
— Alors sois plus aimable, et laisse-moi te mettre cette pine que tu désires tant entre ces lèvres.
Tout en parlant, le souverain avait enjambé la souveraine, puis à genoux, presque à cheval sur sa poitrine, il lui mit sa pine sur les lèvres. Malheureusement, la pauvre bite impériale était plus molle que jamais.
— Allons, mon trésor, gémissait l’Empereur, daigne écarter tes lèvres vermeilles et prendre ma queue dans ta bouche rose. Allons, voyons.
La bouche rose finit enfin par s’ouvrir. Aussitôt l’Empereur y fourra sa « viande », mais ce fut en vain que la langue de la souveraine travailla.
Alors, impatientée, le cul plus en cha-