— Sa Majesté demande une poigne solide et une pine vigoureuse ? Voilà.
Et semblable au colosse de Rhodes, l’homme se campa, exhibant un membre viril de belle taille.
— Ah ! fit alors l’Impératrice en tendant les bras, qui que tu sois, viens, et sans retard, baise-moi comme tu baiserais la dernière des putains !
Quand Jonas quitta la chambre de l’Impératrice, il faisait grand jour.
L’Empereur dormait toujours. Les dragées anti-érotiques données à l’Empereur à la place des dragées infernales du docteur Casaretto, avaient produit leur effet.
Et c’est ainsi que Jonas avait pu procurer, tout en se vengeant, une nuit de délices à la belle Impératrice, qui, vers les cinq heures du matin, prononça ce seul mot, que jamais homme ne lui fit répéter depuis. Assez :