Toutes les femmes ont-elles un penchant décidé à devenir putain ?
Toutes le sont ou désirent l’être ; il n’y a que les convenances, les bienséances qui retiennent la plupart, et toute fille qui succombe même la première fois, dans un tête-à-tête, est déjà, dès le premier pas, putain décidée ; la chemise, une fois levée, la voilà familiarisée avec son cul, autant que celle qui a joué du sien pendant dix ans.
La putain qui procure de la jouissance à l’homme, peut-elle s’y livrer avec tous, sans s’exposer à altérer son propre tempérament ?
Il est un milieu à tout ; il serait très imprudent à une putain de se livrer avec excès au plaisir de la fouterie : une chair flasque et molle serait bientôt le fruit de ce désordre ; mais il est un raffinement de vo-