l’eau à ce laveur de con, afin qu’il puisse
décrasser sa pine ; elle doit aussi en faire
autant de son côté ; l’empressement qu’elle
doit avoir d’être bientôt quitte de cette
plaie mensuelle lui en fait naturellement
un devoir.
Une putain est-elle tenue de foutre avec un homme vérolé ?
S’il ne lui est pas permis de baiser avec un homme sain lorsque elle-même est gâtée, elle a le même privilège de ne point foutre avec celui qui a mal au vit ; c’est à elle à y voir clair et à s’assurer, avant, de la propreté de son foutre : pour vérifier ses reliques, elle doit elle-même décalotter le vit, pressurer le bout du prépuce pour voir s’il n’en sort pas de la matière ; elle doit en outre considérer la chemise, et si elle s’aperçoit que cette chemise ressemble à une carte géographique, c’est un signe visible que la pine est malade et qu’elle ne peut, sans s’exposer au danger, foutre avec un tel homme. Le seul expédient qui lui