Page:Les Folies amoureuses d’une impératrice ; Catéchisme libertin, 1900.djvu/98

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Je n’ai point de richesse.
Mais mon con, n’est-ce rien ?
Mes tétons et mes fesses
M’en procureront bien.
Une pine nerveuse,
Et deux couillons dodus,
Sont pour une fouteuse
Les trésors de Crésus.

Je veux, quoiqu’on en dise,
Foutre jusqu’au tombeau.
Mourir dans cette crise,
Est-il un sort plus beau !
Que sur ma tombe on grave,
Pour toute inscription :
Ici-git le plus brave
Et déterminé con.