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|i I 1.1.1. Qi E snil la rouir de I’immcc (jiic oiis iiaicoiiiic/’. il ii"ostUlon. N’est-ce pas le postillon, en effet, qui entretient l’union et le mouvement
entre ces nombreux lelais dont notre France s’enorgueillit à bon droit.’ n’est-ce pas
à lui que sont maU-riclLeinent dus les rapports d’homme à homme, de ville à ville ,
d’filat à État ? à chaque voyage, arbitre de notre vie ou de notre mort, n’esl-il pas
entin. par son travail, le [irincipal élément de la prépondérance ordinaire dont son
maître jouit , la source |)remière de l’air d’aisance et de supériorité répandu siu’ tout
ce qui l’approche ;’
.Arrêtons-nous devant une de ces habitations placées sur la route de"’. Elle appartient,
depuis la restauration, à un vieux général qui s’y repose en paix des fatigues
de vingt années de guerre : accoutumé au liiniiilte des camps, c’est encore avec plaisir
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