Page:Les Gaietés de Béranger.djvu/21

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L’amour et les cantharides
M’ont cent fois mis sur les dents.
Va bien, va bien, ma petite,
Console-moi vite.
De peur qu’on la laisse en chemin
À cette heure elle y met la main.
Ah ! Marton, etc.

Contre le mal qui m’oppresse,
Que tes efforts sont puissants !
Il se calme, et ma tristesse
Tire à sa fin, je le sens.
Va bien, va bien, ma petite,
Console-moi vite.
Mais à ton tour tu sens combien
Mon cœur s’épanche dans le tien.
Ah ! Marton, grâce à tes appas,
Je crois que je n’en mourrai pas !




L’ABBESSE D’UN COUVENT
COMME IL Y EN A ENCORE BEAUCOUP.



Sortez vite et rentrez souvent,
Le jour baisse,