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Page:Les Merveilleux Voyages de Marco Polo, éd. Turpaud, 1920.djvu/40

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autant de considération que s’il se fût agi d’elle-même. Partout où passaient les Vénitiens, la vue des tables faisait merveille. Ils étaient abondamment défrayés de tout et on leur donnait une forte escorte. La précaution n’était pas inutile, car les Polo rapportaient de Chine un volumineux bagage bien fait pour tenter les voleurs.