Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, VI.djvu/212

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
204
LES MILLE ET UNE NUITS,

mortels m’accableroient de soufflets les uns après les autres. C’est de quoi votre Majesté sera le juge elle-même, quand par le récit de mon histoire que je vais lui raconter, en obéissant à ses ordres, je lui aurai fait connoître quelle est cette faute énorme :