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et je saisis avec plaisir cette occasion ; je jouirai de ton triomphe, nous aurons soin de seconder ton ardeur, et des liqueurs fortifiantes te seront prodiguées.

Je ne puis rester plus long-temps avec toi, il faut que je préside à l’arrangement du lieu de ta victoire.

J’allai effectivement voir et ordonner les apprêts. La simétrie la plus heureuse fut employée, et nous attendions avec impatience ce moment fortuné.

Un repas ordonné avec goût et délicatesse devoit précéder cette aimable orgie. Des vins excellens devoient nous provoquer au plaisir, et jamais le plus libertin des seigneurs, sans excepter d’Artois et d’Orléans, n’inventa une plus jolie partie. Je confiai à mes religieuses l’exécution de ce que j’avois ordonné, et je me