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Page:Les Travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie, 1801.djvu/21

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que je vais décrire ne sont pas faits pour eux ; qu’il faut, pour les goûter, une constitution mâle et vigoureuse ; que ce n’est point à des débiles et efféminés que j’offre mes opuscules en galanterie ; que c’est à des hommes sains et dispos, à des tempéramens de la bonne trempe, enfin à des hommes qui pussent remplir la tâche que le titre de mon ouvrage leur impose. Je veux moins démontrer les jouissances que l’on peut éprouver relativement à ses facultés, que celles que la nature dans toute son énergie, est susceptible de procurer à ceux chez qui elle n’est point altérée. Je veux enfin chercher le plaisir dans sa source, et non le saisir par ses ramifications.