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Page:Les Travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie, 1801.djvu/25

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AUTRE PRÉFACE.

Et pourquoi n’écrirais-je point mes fredaines ainsi qu’un autre ? Sont-elles d’un ordre inférieur ? et n’ai-je pas donné mille preuves de vigueur et de talent dans mes exercices libertins ? Qu’en penses-tu toi, comtesse ? As-tu trouvé quelque athelète qui m’aie surpassé ? As-tu connu quelque ribaud qui portât le raffinement de la luxure aussi loin que moi ? J’ai foutu depuis la laveuse d’écuelles jusqu’à l’impératrice, et depuis la muzette des Champs-Elisées jusqu’à la pourpre. Oui, foutre de dieu, je veux faire l’historique de mes tours de force, dont ceux du fils Dalemene n’appro-