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Page:Les Travaux d’Hercule, ou la rocambole de la fouterie, 1801.djvu/71

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LA PYRAMIDE.

Onzième manière.

On fait asseoir une femme ; on lui passe les jambes sur les deux épaules, et, dans cette position, on lui insinue la verge dans la bouche, le plus avant qu’il est possible ; elle vous chatouille incontinent l’anus avec le doigt, pour vous provoquer à des secousses violentes.

Une autre femme est debout derrière la première, et s’approche assez près du fouteur, pour qu’il puisse la gamahucher à son aise.

C’est ce qu’on appelle la pyramide : on peut l’exhausser à volonté, en répétant toujours les mêmes attitudes, jusqu’à la concurrence des forces de la femme qui lui sert de base.