Page:Les Types de Paris, 1889.djvu/191

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Le
Carreleur
de
Souliers


Hors de la poix rien à faire,
Le lis naît blanc, comme odeur
Simplement je le préfère
À ce bon raccommodeur.

Il va de cuir à ma paire
Adjoindre plus que je n’eus.
Jamais, cela désespère
Un besoin de talons nus

Son marteau qui ne dévie
Fixe de clous gouailleurs
Sur la semelle l’envie
Toujours conduisant ailleurs.

Il recréerait nos souliers,
O pieds, si vous le vouliez !