Page:Les Veillées des maisons de prostitution et des prostituées.djvu/37

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ser une main devant les cuisses de la femme pour entr’ouvrir par devant la route des plaisirs, tandis que de l’autre main il guide son vit par derrière et le place juste à l’embouchure ; c’est ce qu’a fait notre gaillard, qui s’est écrié avec satisfaction : Ah ! j’y suis ! Voyez comme à présent ses deux mains sont placées sur les deux tétons de la petite, dont ils chatouillent les extrémités, tandis que son vigoureux braquement travaille l’intérieur du conin de sa petite personne, qui remue les fesses avec une vitesse incroyable. C’est bientôt de la part de nos deux personnages un chorus d’exclamations : Ah ! mon bon… oncle. — Ma pe… ti…, te nièce ! — Ah ! ah… quel plaisir !… je meurs… attends… attends… dé… chargeons,… en… semble… ah ! ah !…

Et bientôt, sans égard pour la parenté, le foutre de l’oncle et celui de la nièce se mêlent, en les plongeant tous deux dans l’extase la plus complète.