Aller au contenu

Page:Les Veillées du couvent, ou le Noviciat d’amour, 5793 (1793).djvu/9

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LES VEILLÉES DU COUVENT,
OU
LE NOVICIAT D’AMOUR
POÈME ÉROTI-SATYRIQVE ;
Par un Bâtard de Mirabeau l’aîné.
A SAINT-CYR.
Et à Paris,
Rue du Coq St.-Honoré, No. 120.
L’AN DE VÉNUS 5793.