nant tavernier-bordeliste, du faubourg du Temple, s’y trouvoit. Qui ne sauroit pas aussi bien que moi que ce jeune homme étoit l’ami de cœur, de c.l et de c.n de la Tabouret, pourrait l’apprendre par ce récit. Quelques amateurs anti-physiques s’y étoient aussi rassemblés.
J.-F., ce jour là même qu’insulté par la populace dont il est exécré, il se rendit au bordel de cette pourvoyeuse ; à l’aspect de deux énormes poignées de verges, qu’il aperçut sur une commode, il lui prit fantaisie d’essayer ce restaurant : cette façon de ranimer la vigueur a toujours été du ressort des gens d’église.
Sophie, Julie et la grosse Fanchon, déduisirent à J.-F. les avantages qui résultoient, pour les sens, de se faire ainsi macérer le postérieur. En conséquence, après avoir payé, tant bien que mal, le misérable calotin se fit attacher à une des colonnes du lit de camp, pour y recevoir le moyen nécessaire à rappeler se force épuisée.
Déjà Julie et Sophie, chacune armée de verges, contemploient l’énorme fessier de J.-F. ; déjà d’un bras accoutumé à de semblables exercices, elles laissoient tomber leurs coups sur les globes charnus de l’impudique abbé, quand les cris qu’il poussoit, autant excités par la douleur que par ce plaisir inconcevable, attirèrent Despas et sa séquelle.