Aller au contenu

Page:Les confédérés vérolés suivis de La calotte renversée, Les enfants de sodome et Les fredaines lubriques de J.-F. Maury, 1873.djvu/95

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
87
de j.-f. maury

lement, à grands coups de pieds au derrière, du sérail de la Hequet, autre maquerelle, aux Rats de Chably, faubourg du Temple ; gagner la chaude-pisse en forniquant avec Rose, fille d’amour de la grosse tétonnière Dumas, appareilleuse de la rue du Pélican ; se faire voler sa montre, chez Henriette Poissy ; enfin, tout récemment, recevoir les étrivières chez la Tabouret, par cinq à six courtisanes, et autant d’anti-physiciens, dont on sait que sa maison est toujours remplie, s’étant de tout temps destinée à l’un comme à l’autre, ne pouvant s’imaginer comment on pouvoit se refuser à faire également usage de deux trous, qui ne sont différents que pour la forme.

N’en lisez pas davantage, bégueules si sottement scrupuleuses, si vous ne voulez avoir une occasion de plus de crier au scandale : mon titre, ma gravure, et plus encore le nom même de J.-F. Maury, qui semble désigner une obscénité, doivent vous avoir fait pressentir quel étoit le genre que j’étois résolu de traiter : conséquemment ne passez pas outre ; mais vous, catins et tribades des trois ordres réunis ; vous, bardaches et sodomites ; vous, aimables roués et charmants polissons ; vous, vieux paillards ; vous, chauves-souris du Palais-Royal, venez dire avec moi, en commentant les faits et gestes du député de Péronne, et convenez que je n’ai pas eu tort de dire :