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Les hommes, lorsqu’ils ont foutu
À double couillon rabattu,
Se lavent dans une terrine.
En cela, moins bêtes que nous,
Les chiens se lèchent ; c’est plus doux.
Je voudrais être chien, etc.

Avec mon nez, bien qu’il soit long,
Je ne puis me faire’ postillon,
Et voilà ce qui me chagrine.
Avant ma mort j’aurais voulu
Foutre mon nez dans l’ trou d’mon cul.
Je voudrais être chien,
Car, du soir au matin,
Je pourrais me sucer la pine.


Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, Vignette de fin de chapitre
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