Page:Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/182

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XXXV

Et quand on la mit en bière
On vit pleurer tous ses morpions,
Tonton, tonton, tontaine, tonton,
Et quand on la mit dans la terre,
Ils arrachèr’nt les poils du con,
Tonton, tontaine, tonton !


Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, Vignette de fin de chapitre
Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, Vignette de fin de chapitre