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MA SOURCE
Je n’ai point assez du baiser
Dont se contente tout le monde.
Et la source où je veux puiser
Est plus cachée et plus profonde !
De votre bouche elle est la sœur !
Au pied d’une blanche colline
J’y parviendrai, dans l’épaisseur
D’un buisson frisé qui s’incline.
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