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Page:Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/48

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J’ai r’pris Champ-d’Mars-Bastille,
Plus un d’mi bru… une !

IV

À’ l’oral, Blaringhem m’invite,
À’ lui causer sur les orchis,
— Les orchis, qu’i m’dit, pas orchite,
Ça n’se trouv’ pas dans l’même logis !
J’m’en tir’, Bonnier, la crèm’ des crèmes,
M’dit : — Jeune homm’ sans vous commander,
Dit’s-moi quéqu’ chos’ des méristèmes ?
J’y ai servi ça sans plus tarder.
Combes d’un air posé,
M’demand’ les Composées,
J’lui dis : — Les composées, ma foi,
Ça s’rait loin d’être simpl’ d’après moi.
— Très bien, très bien, qu’il fait,
C’est juste, exact, parfait,
J’y ai sorti mon rouleau,
Et fait des imag’s au tableau !

REFRAIN

Gai z’et content,
M’v’là r’çu c’est l’important,
Ah ! qu’est-c’ que c’est, pourtant,
Quand on turbi… i… ine !
J’me r’pose une heure,
Puis sans r’proche et sans peur,
J’en r’mets pour êtr’ docteur,
Ça m’turlupi… i… ine !


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