nosité établies par M. Rood. Pour du Carmin violet et du Bleu de Prusse d’où naît un gris bleu :
[…]
Efforcés vers l’expression des luminosités extrêmes, on conçoit donc que les Impressionnistes, — comme, parfois déjà, Delacroix, — veuillent substituer au mélange sur la palette le mélange optique.
M. Georges Seurat, le premier, a présenté un paradigme complet et systématique de cette nouvelle peinture. Son immense tableau la Grande-Jatte, en quelque partie qu’on l’examine, s’étale monotone et patiente tavelure, tapisserie : ici, en effet, la patte est inutile, le truquage impossible ; nulle place pour les morceaux de bravoure ; — que la main soit gourde, mais que l’œil soit agile, perspicace et savant ; sur une autruche, une botte de paille, une vague ou un roc la manœuvre du pinceau reste la même. Et si se peuvent soutenir les avantages de la « belle facture » sabrée et torchonnée pour le rendu, j’imagine, d’herbes rêches, de ramures mobiles, de pelages bourrus du moins la « peinture au point » s’impose-t-elle pour l’exécution des surfaces lisses, et, notamment, du nu, à quoi on ne l’a