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ses épaules. Il portait un costume de gaze blanche, lamée d’or, ce qui fait, que, sous cet habillement transparent, il paraissait entièrement nu. Il m’offre ses services de la façon la plus charmante ; je me mets en devoir de me déshabiller, et, avec son aide, le dernier de mes vêtements avait rejoint le reste. J’entrais dans mon bain, que j’avais voulu naturel pour ne pas troubler le cristal de l’eau ; pendant ce temps, mon Adonis préparait la sortie, il étalait le grand peignoir éponge, et approchait le grand sachet ; je le regardais, se remuant et agitant ses jolies fesses, qui ressemblaient à celles d’une femme. Lorsque le temps me parut suffisant, je fis un signe, et quand j’enjambais la baignoire, il m’enveloppa du peignoir, et commença à me sécher. Il me fit ensuite étendre sur le sopha, où, avec un linge de batiste, il me sécha dans tous les replis. Prenant ensuite dans le