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Page:Les vacances au château – Le fétichisme en amour, 1907.djvu/61

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nottes nacrées et qu’elles sucent avec leur bouche charnue ; elles avaient soif et elles avalèrent la première décharge, qui arracha à chaque amoureux un soupir de plaisir sans retirer les queues de leur bouche. Les deux sœurs branlent le filet avec l’agilité d’un tremblant électrique et grâce à cette douce masturbation, l’érection fut vite à son comble. Elles reprennent alors leur mouvement de succion avec leur lèvres. La caresse était si forte, si aiguë, qu’elle arrachait à nos jeunes gens des gémissements de bonheur et de souffrance. Enfin, la nature une seconde fois vaincue lança dans chaque bouche une lave brûlante, qui fut aspirée, goutte à goutte, et avalée avec le regret de n’en pas rencontrer davantage.

„Avant de procéder à notre grande scène, Robert, il est bon que nous réparions nos forces perdues par un